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5 astuces pour cuisiner avec les enfants

Les vacances sont un moment clé de partage avec les enfants. Cependant, le temps n’est pas toujours en harmonie avec cette affirmation, alors que faire quand il pleut. A la maison il est hors de question de passer des heures devant la télévision, alors on opte pour des activités manuelles, d’autres jours pour de la musique ou du théâtre et puis parfois pour de la pâtisserie. En effet, faire leur propre gouter, les enfants adorent. Oui mais voilà si on ne veut pas devoir laver la cuisine du sol au plafond, il faut mettre en place quelques astuces pour limiter les catastrophes … Voici 5 astuces simples et pratiques pour cuisiner avec les enfants



Choisir la recette
Pour faire la cuisine, avec des petits notamment, il est clair qu’il ne faut pas choisir une recette compliquée. On oublie le sabayon au champagne, le bavarois et sa crème chantilly, et on part plutôt sur du gâteau au yaourt, du brownie ou de la tarte aux fruits. Une recette simple, pas longue à mettre en place et surtout qui peut être grignotée au goûter soit peu de temps après la réalisation. Et puis s’il y a possibilité de malaxer la pâte avec les mains là c’est le bonheur total !

La bonne hauteur
Quand l’enfant est en bas âge, les éléments tels que le plan de travail, l’évier ou la plaque électrique sont souvent trop haut pour les petits.  Le marchepied est donc un élément essentiel.  Il doit être léger pour que l’enfant puisse le déplacer facilement et propre pour éviter les poils/cheveux/poussière dans la pâte à gâteau.

Equipement
L’enfant n’a pas la dextérité d’un adulte et les petits accidents sont fréquents. Pour ne pas changer 5 fois de t-shirts dans l’après-midi et pouvoir lécher le saladier sans s’en mettre partout, on fait comme les grands chefs, on s’attache les cheveux, on met un tablier et on prévoit un torchon à portée de main pour s’essuyer.

Mettre tout à portée de main
Aller chercher un œuf dans le frigo pour une maman c’est anodin mais pour un enfant, c’est compliqué : ouvrir le frigo, porter l’œuf, rigoler avec le frère ou la sœur et paf l’œuf est par terre… Alors pour limiter les catastrophes, je pose tous les ingrédients et ustensiles de cuisine sur la table ou le plan de travail, à portée de main. Cela évite les déplacements et la casse !

S’adapter à leur capacité
Et c’est là où c’est le plus compliqué car l’enfant n’a pas notre dextérité d’adulte. Un exemple : pour utiliser la farine je prends le paquet et je secoue délicatement. Si l’enfant  fait pareil, il va soulever le paquet et secouer, il y aura alors autant de farine autour du saladier que dedans. Mais si vous lui proposez une cuillère à soupe et que cuillère après cuillère il met  la bonne quantité, l’enfant est fier et vous vous pouvez laisser l’éponge de côté. D’autre part, l’enfant ne sait pas forcément lire et quand bien même gramme ou kilo ne lui parlent pas. Pour simplifier les pesée ou mesure de liquide, j’ai acheté une balance électronique qui affiche la pesée (moins de 15€ pourquoi se priver !). Simple à tarer, elle permet de comparer les chiffres donnés par la recette et ceux indiqués sur l’écran, on peut ainsi travailler sur les nombres/chiffres mais aussi sur les notions de plus petit et plus grand sans que cela soit un exercice d’école rébarbatif. Avec en plus la lecture de la recette, math et français sont au rendez-vous sans prise de tête.

J’espèce que ces quelques astuces vous aideront vous parents qui avez envie de tenter des activités avec les enfants. Gardez quand même à l’esprit qu’une bêtise est vite arrivée, j’ai ainsi dû nettoyer l’ensemble de mes tiroirs de cuisine la faute à un œuf cassé en dehors du saladier qui a coulé le long du meuble. Certes c’est pénible et ça prend du temps mais ça reste ce que j’appelle des mini-bêtises qui n’effaceront pas les fous rires (et là pour le coup même moi j’ai ri) et la joie de manger un gâteau fait maison par leurs petites mains.





Peut-on suivre les principes de la méthode Weight Watchers sans payer quand on n'a que quelques kilos à perdre ?

Weight Watchers, aussi appelé WW, est une  méthode qui permet de manger sainement. Ce n’est pas un régime à proprement parler car on a le droit de manger de tout sans se priver. Le principe réside sur l’écoute du corps et sur le fait que chaque aliment à un nombre de points appelés ProPoint ou PP que l’on doit déduire de son capital quotidien.

L’avantage de cette méthode réside dans le fait de quantifier ce que l’on mange et de voir clairement les proportions. Si comme moi vous avez tendance à piquer dans le plat ou à vous resservir, et bien avec cette méthode vous savez combien vous devez manger et basta !

Malheureusement comme toute méthode, la monétisation entre en ligne de compte, car pour connaître son capital ou le nombre de ProPoint d’un aliment il faut payer. De 18€/mois à plus de 30€ tout dépend des options, j’ai pour ma part abandonné l’idée. Mais voici comment par le biais d’internet on peut s’en sortir.

1/ Calculer son capital Propoint par jour.
Le capital de points quotidien est un paramètre à calculer au tout début et à ajuster suivant la perte de poids. Comme l’indique l’image ci-dessous (trouvée sur http://regime-ww.over-blog.com/article-comment-calculer-son-capital-propoints-45544189.html), il dépend du poids en kg et de la taille en cm. 



Pour les faibles pertes de pois comme dans mon cas : 60kg pour 1m69 au départ, je suis en zone verte, soit un capital de 29PP et 35PP bonus à utiliser sur la semaine.

D’autres sites vous demandent directement d’entrer les paramètres et calculent pour vous le quota de ProPoint comme ce site : https://sites.google.com/site/calculpoints/calcul-capital-points.

2/ Les aliments, les Propoints et les règles
Comme indiquer dans l’introduction, chaque aliment a son propre quota de Propoint, excepté légume et fruits qui sont côtés à 0 pour 100g. Ainsi de la tartine beurrée au petit carré de chocolat tout compte. De nombreux sites répertorient les aliments et donnent le nombre de pro points ainsi que  la quantité. 

L’un des listings le mieux fait est sur le blog de « L’espoir au bout du chemin » http://lespoirauboutduchemin.over-blog.com/, qui a classé tous les aliments par grandes familles : boulangerie, viande, charcuterie, cuisine mexicaine ….et la liste est longue. 

Ce n’est pas le seul en tapant sur google « WW et blog » vous pourrez en découvrir plein d’autres.

3/ Comment faire au quotidien ?
La première règle : « pour commencer, armez-vous d’une balance ! » En effet chaque aliment a un ratio poids/PP comme par exemple le fromage : une ration de fromage c’est 30g et bien personnellement avant de peser je n’en avais pas la moindre idée. Du coup en général pendant les trois premières semaines je me balade avec ma balance pour pouvoir voir effectivement ce que je mange.

Deuxième règle : «tout prendre en compte ! Quand on fait un gâteau tout compte de l’œuf à la farine en passant par le sucre. Alors si votre gâteau arrive à un total de 30 PP, il ne faut pas décompter 30PP du quota quotidien mais si vous faites 10 parts de gâteau et bien la part compte pour 3 PP. Et si on a peur de se planter un grand nombre de blogs de cuisine indique les recettes WW ainsi que le quota  de points PP. 
Quelques exemples :

Troisième règle : « lister et écrire ! » Pour lister tout ce que je mange, j’utilise un tableur comme le montre l’image. Chaque jour présente deux colonnes : l’une dans laquelle je rentre les aliments l’autre le nombre de PP. La case tout en bas calcul mon capital restant (29-somme des pp du jour). Comme vous pouvez le voir je ne me prive pas, je mange de tout avec même quelques craquages qui puisent dans ma réserve.

4/ L'activité
Oui comme toute méthode, il n'y a pas de secret, il faut se bouger ! Dès que je le peu je limite la voiture pour marcher. Je vais à pied au marché, je vais au parc avec bébé... Bref je me bouge adieu larve devant la télé bonjour femme dynamique et active !

Bilan après 3 semaines.

Soyons honnêtes je n’ai pas 2000 kilos à perdre mais juste quelques kilos de grossesse que j’aimerai voir disparaître. J’ai commencé à suivre les principes de la méthode à mon retour de vacances. Je pesais 60kg. Trois semaines plus tard je suis à 57kg, et pourtant j’ai mangé un croissant, des madeleines, bu du jus d’orange, bref j’ai continué à vivre et je mange des légumes et des fruits à volonté. Ma peau est beaucoup moins grasse ainsi que mes cheveux. Pour moi c’est donc tout bénef. Alors pourquoi ne pas tenter ?

Diversification alimentaire, le premier mois : la découverte





Bébé grandit et atteint ses 5 mois. Il est temps si aucune allergie alimentaire n’est présente dans la famille de commencer les légumes. Il s’agit d’un premier pas dans l’alimentation de bébé, une étape importante où bébé va découvrir de nouveaux goûts très éloignés de celui du lait dont il a l'habitude. Il ne faut pas le brusquer et y aller tout en douceur.

Beaucoup de parents optent pour le mélange lait/légumes dans le biberon. L’avantage pour le bébé réside dans le fait qu’il connait le biberon. Le gout ne change pas beaucoup si les légumes sont ajoutés petit à petit. En revanche si bébé est écœuré, l’ensemble lait-biberon pourra être rejeté. A la maison, nous avons choisi de vraiment distinguer les légumes du biberon. Pour cela, nous n’avons jamais mélangé les légumes et le lait : il y a toujours eu l’assiette et la cuillère pour les légumes et le biberon pour le lait. C’est un choix discutable mais l’idée derrière est que bébé goute vraiment et puisse apprécier sans être influencé par le lait.

Nous avons opté pour l’option tout faire maison. Pour le choix des légumes, la pédiatre nous a laissé complètement libre. Seules restrictions pas de pomme de terre car difficile à digérer à 5 mois et pas de gluten. Dans la première phase les légumes ne sont donnés que le midi. Ils sont cuits à l’eau non salée, puis mixés avec un peu d’eau si nécessaire. La consistance doit être assez fluide pour que bébé puisse avaler sans difficulté. La carotte fut le premier légume que bébé a gouté. Les premiers jours, ce ne fut que quelques cuillères le midi données avant le biberon puis 80g au bout d’une semaine. Nous avons ensuite testé le potiron seul sur trois jours puis mélangé à la carotte. Ainsi chaque semaine un nouveau légume apparait dans l’alimentation, seul ou/et mélangé à d’autres légumes que bébé connaît. Nous avons donc eu la semaine poireau puis la semaine haricots verts.

Le plus gros succès fut l’association carotte-haricots verts qui est toute douce en bouche et que bébé a beaucoup aimé. L’association carotte-poireau cale bien et a bon gout. .

Actuellement nous en sommes à la phase 2 où les légumes sont présents en plus grande quantité et une introduction de fruits à commencer. Mais pour l’heure je finirai cet article par quelques questions que je me suis posées et auxquelles j’ai fait face toute seule :

Doit-on cuire les légumes à l’eau minérale ? Et oui bébé ne boit que des biberons de lait réalisés avec une eau adaptée alors la question n’est pas si stupide. Pour ma part, j’ai cuit les légumes à l’eau du robinet. Par contre si la purée est trop compacte, j’utilise de l’eau minérale pour la diluée.

Doit-on cuire tous les aliments sans la peau ? A la maison beaucoup de légumes sont issus de la ferme ou bio. Normalement il y a pas ou très peu de produits chimiques donc consommables. Cependant bébé est encore très jeune il est donc préférable de tout éplucher.

La courgette si douce au goût avec ou sans les pépins ? Alors ça c’est le vrai débat. Aucune réponse claire. Les avis diffèrent. Par précaution j’ai épluché et enlevé les pépins de la courgette (avec une petite cuillère c’est très simple). Du coup il ne reste plus beaucoup de matière mais ça limite les risques. Il semble que ce soit pareil pour l’aubergine (à partir de six mois).

Dès 6 mois, champignon ou pas ? La question s’est posée quand Blédilait m’a envoyé une recette à tester pour bébé : soupe de champignons. Sur le coup j’ai trouvé ça étonnant. Puis j’ai vérifié, là encore les avis divergent… même histoire qu’avec la pomme de terre qui suivant les pédiatres est introduite très tôt. Finalement j’ai opté pour l’option pas de champignon et pas de patate.

Si vous avez d’autres questions, ma boîte mail vous attend. Bonne diversification à tous !

 

Pour ou contre les paniers de légumes/fruits hebdomadaires


Le panier hebdomadaire est un concept qui consiste à acheter chaque semaine un lot de légumes et/ou de fruits, normalement de saison. En général, les légumes sont issus d’agriculteurs locaux. Ils ne sont pas forcément bios mais sont souvent le produit d’une agriculture raisonnée c’est-à-dire qui utilise le moins de produits chimiques possibles excepté quand c’est vraiment nécessaire. Le panier se décline en différents formats suivant les quantités (pour 1/2 personnes ou 3/4 personnes) et suivant le contenu : légumes, légumes et fruits ou fruits seulement. S’il y a quelques années ce concept n’était trouvable que dans les AMAP, actuellement de plus en plus de fermes s’y mettent, voire même les grandes surfaces.
Les avantages sont nombreux : tout d’abord ce sont en général des produits de saison. En effet, quand on achète son panier dans la ferme locale, pas de fraise ou de raisin en plein mois de janvier, mais plutôt des pommes ou des poires, c’est-à-dire des fruits de saison. Chaque semaine le panier est différent, ce qui permet de varier les repas et de manger des produits que l’on n’aurait pas forcément acheté quand on fait ses courses, quelques exemples : le panais, le rutabaga ou plus simplement des choux de Bruxelles.
Pour les paniers achetés dans les fermes, les produits sont locaux ; adieu produits appelés bio mais qui ont voyagé pendant 15 jours (j’avoue j’ai du mal avec l’appellation BIO quand le produit a fait 1500 km en avion ou pire par camion, entre la pollution du transport et la mise en œuvre du conditionnement pour que le produit reste frais, certes il est bio mais la pollution du transport annihile quelque peu l’effet). Notons de plus que si vous choisissez une agriculture raisonnée, les produits ont subi peu de traitement, ce qui n’est pas négligeable. Mais ce que j’aime par-dessus tout quand je prends mon panier à la ferme, c’est que les produits sont vrais, adieu carotte parfaites et toutes identiques, certaines sont tordues, d’autres ont deux têtes, ici pas de gâchis tout se mange. Les produits ne sont pas lavés et se conservent plus longtemps.
En contrepartie, il y a quand même quelques désavantages. Dans les saisons creuses comme l’hiver, il y a des mois où les paniers sont stoppés faute de légumes ou peu diversifiés, la pomme de terre et la carotte sont alors chaque semaine bien présentes. A la maison, la pomme de terre n’a pas forcément la frite (oh ce jeu de mot !!!) ce qui fait que j’ai toujours un stock de patates assez conséquent. D’autre part, comme beaucoup de choses, le panier peut avoir un coût non négligeable. En effet, il faut bien regarder ce qu’il y a dedans et comparer les prix car certains en profitent et peuvent faire grimper les prix très vite. En plus du prix du panier, il faut parfois compter le prix de la livraison. Enfin, s’il n’est pas livrable ou comme pour moi distribué sur le lieu de travail, il faudra penser au déplacement chaque semaine à la ferme, ce qui n’est pas toujours évident.
Enfin, sachez que Auchan s’est lancé aussi dans le concept du panier, ainsi si comme moi vous vous faites livrer les courses, vous pouvez choisir votre panier. La donne est alors différente puisque ce sont des produits de grande distribution parfois bio mais souvent pas de saison. Alors oui c’est un panier avec des produits qui plairont au plus grand nombre mais qui n’ont rien d’original.
Pour ma part, j’ai testé plusieurs paniers et même ceux des grandes surfaces. Actuellement, j’ai opté pour le panier de la ferme Trubruil qui est localisée à côté de mon travail. Je choisis le petit panier mixte fruits et légumes pour 2 personnes que je paye 8€, ce que je trouve totalement raisonnable. Afin de vous faire une idée du contenu, je vous présente les 3 derniers paniers proposés :
Semaine 1
  • 400g de betteraves rouge cuite
  • 1 petit céleri boule
  • 600g de poireaux
  • 800g de pommes de terre (Chérie)
  • 800g de carottes
  • 800g de pommes (jaunagold)
Semaine 2
  • 250g de mâche
  • 300g de betteraves rouge cuite
  • 800g de pommes de terre (Monalisa)
  • 600g de carottes
  • 600g de poireaux
  • 700g de pommes (Boskoop)
Semaine 3
  • 2 petit radis noir
  • 1 petit chou vert
  • 500g de pommes de terre (bleu d’artois)
  • 600g de carottes
  • 600g de poires (passe crassane)
  • 1 conserve de ratatouille
Vous pouvez voir que lorsque les légumes se font rares, une conserve ou un jus de fruits est ajouté pour compenser. La pomme de terre bien que de catégorie différente est toujours présente comme la carotte mais au pire le gratin dauphinois se congèle ! Je suis donc adepte et je commence à convertir mes proches.
Et vous, vous en pensez quoi ?

Bloguer, c'est quoi pour vous ?


Comme vous le savez (ou allez le découvrir), je tiens un blog de cuisine depuis plus de trois ans et il y a quelques temps, j’ai fait un petit retour en arrière, je me suis amusée à aller voir les blogs des personnes qui avaient laissé un commentaire sur une des premières recettes publiées. Quelle ne fut pas ma surprise de voir que beaucoup de blogs n’avaient pas été suivis : dernière recette datant de deux ans, blogs qui n’existent plus… d’où ma question « bloguer : c’est quoi pour vous ? »
Un blog est pour moi une façon de s’exprimer. Certains utilisent la musique, d’autres l’art ; moi je blogue. Je ne suis pas un cador mais je blogue pour me faire plaisir : j’aime faire des recettes, des photos, les mettre en ligne. Il est clair que c’est une activité chronophage car pour un blog de cuisine par exemple, il faut :
  1. faire la recette ; souvent de nombreuses fois pour qu’elle soit publiable, derrière il faut penser logistique avec les courses, la vaisselle et le temps passé !
  2. faire une photo : cela peut paraître simple mais mettre en scène un plat et bien le cadrer peut prendre beaucoup de temps (essai des couleurs, choix de la vaisselle, mise en scène de la lumière)
  3. rédiger l’article
  4. créer les liens pour que l’article soit référencé, le partager sur Facebook, Pinterest, Instagram…
  5. répondre à vos commentaires (ce que je ne fais pas, je les lis, je vais sur les blogs voir vos recettes mais je ne réponds que très rarement)
Mais bloguer, c’est aussi un moment de partage avec :
  • la famille : qui goûte, donne son avis sur les photos, me souffle plein d’idées et me fait de la pub (merci à vous)
  • les blogueurs : avec qui on noue des liens même si c’est via ordi interposés, ils passent sur votre blog, donnent leur avis et parfois même testent vos créations.
Bloguer n’est donc en aucun cas une corvée, je m’amuse à le faire. Alors certes j’avoue que la motivation est plus ou moins là parfois : typiquement quand j’étais enceinte avec la nausée très présente, bizarrement faire la cuisine ne fut plus ma priorité, le blog a ralenti mais n’a pas disparu.
C’est vrai aussi que parfois c’est pénible : quand la recette rate, quand la mise en page saute, quand la photo est nulle ou quand on s’est engagé sur plein de trucs à la fois et que tout tombe en même temps. Mais j’avoue, j’aime bloguer et je n’aimerais pas que ce qui est en place disparaisse ou n’évolue plus faute de publication. J’aime d’ailleurs tellement ça que j’ai créé un second blog appelé Les bidouillis de Miss Flo (encore petit blog dans sa coquille mais qui grandit tout doucement) où je publie tout ce que j’ai envie : lecture, expo, nail art.
Bloguer fait donc partie de ma vie mais attention, ce n’est pas non plus toute ma vie, j’ai un travail, je fais du sport (un peu moins j’avoue avec le froid), je lis, je joue (Minecraft mon ami !), bref c’est une activité parmi tant d’autres ….
Et vous, vous voyez ça comment ?

Article publié sur so busy girl 

Que faire quand on n’aime pas le lait ?

Depuis que je suis toute petite, j’entends ma mère me dire : « le lait c’est bon pour toi, pour ta croissance ! ». Oui mais voilà, ma mère déteste le goût du lait et n’en boit jamais. Si, actuellement, on entend souvent parler des intolérances au gluten, au blanc d’œuf ou au blé, le lait reste parfois tabou. Il s’agit pourtant d’un ingrédient quotidien de l’alimentation. Beaucoup ne sont pas forcément allergiques, mais n’aiment pas le goût. Alors comment faire dans ce cas, surtout pour les enfants en pleine croissance ?



Certains industriels se sont penchés sur la question et nous proposent une large gamme de lait. Chaque marque présente un lait qui a son goût propre (si si je vous assure, faites le test et vous verrez : un lait de la marque Carrefour n’a pas le même goût qu’un lait Candia par exemple). Le goût diffère car les laits sont plus ou moins riches (notion de gras en bouche) ou même plus ou moins vitaminés (attention quand même aux additifs). Il y a notamment Lactel qui a créé Matin Léger, un lait de vache demi-écrémé enrichi en vitamine D qui comporte 80% de lactose en moins par rapport à un lait classique. C’est un lait qui cible donc les personnes présentant des allergies et des intolérances au lait de vache. Le goût reste le même bien que très fortement dilué (pour une buveuse de lait comme moi on dirait de l’eau). Si c’est le goût le problème, ce lait ne permettra pas forcément à une personne n’aimant pas de se mettre à en boire à la bouteille, par contre si c’est sa digestion, il faut essayer.

Pour camoufler le goût, les industriels nous proposent des laits aromatisés, comme Candi’up par exemple : des briques de lait à la fraise, au chocolat, à la vanille et plus récemment au biscuit ou au caramel. Alors oui, l’enfant boira du lait mais d’une part c’est cher : 2,58€ les 6 briques de 20cL et en plus ça contient énormément de sucre. Il s’agit donc d’une gourmandise à consommer avec modération. C’est d’ailleurs dans le slogan publicitaire qui présente la petite brique comme « un goûter équilibré en complément avec d'autres aliments tels qu’un fruit ». Notons qu’il est possible de faire son lait aromatisé maison en utilisant quelques gouttes d’arômes ou d’huile essentielle dans un verre de lait. Le goût du lait est alors masqué, il y a peu de sucre et avec une paille ça passe tout seul ! Pour la couleur, on peut même ajouter quelques gouttes de colorant qui permettront d’avoir un vrai lait à la fraise rose.

Si le lait de vache est considéré comme classique, le lait de chèvre a récemment fait son apparition dans les grandes surfaces car il contient de nombreuses substances nutritives qui le rendent comparable au lait maternel. C’est un lait très fort en goût qui n’a rien de commun avec le lait de vache (on a plus la sensation de manger du fromage). Mon frère en est fan et l’utilise dans ces céréales, moi c’est plus dans les omelettes ou clafoutis salés. Récemment, des chercheurs ont montré que la consommation habituelle de lait de chèvre par des individus présentant une anémie (déficience de fer) améliore leur récupération, vu que ce lait accentue l'efficacité nutritive du fer et la régénération de l'hémoglobine.

Enfin, pour les incontournables de la protéine végétale, il existe toute la gamme des laits dits végétaux : lait d’amande, lait de soja, lait de riz... Ce sont des laits qui ne contiennent pas de lactose et aucune protéine animale. Ils sont en général peu caloriques. Le problème avec ces laits, c’est qu’ils coûtent beaucoup plus chers que le lait de vache et sont souvent commercialisés avec des épaississants et des additifs. J’utilise régulièrement le lait d’amande notamment en pâtisserie car il amène un petit goût que j’apprécie et alors, dans la pâte à crêpe, c’est juste divin. Je suis fan du lait de coco qui me sert de base pour les sauces, les curry ou même en panna cotta Par contre, je me méfie un peu du lait de soja, car beaucoup d’études montrent qu’une grosse consommation de soja est problématique car elle empêche le calcium de se fixer sur les os et peut même perturber le développement du bébé chez la femme enceinte. Donc, excepté pour le soja, je pense que tous les autres laits végétaux,  sont une bonne alternative au lait classique de vache. Notons en plus que ce sont des laits fabricables « maison ». Si vous regardez sur le net, beaucoup de blogs proposent des recettes pour faire son lait végétal. Ainsi, le contenu est connu et on peut varier les plaisirs.


Pour conclure, je dirai simplement qu’il n’y a pas de solution miracle et que chacun fait en fonction de ses goûts. Varier son lait comme son alimentation permet d’élargir les apports nutritifs et d’éviter les carences. Dans tous les cas, je sais que ma mère (qui déteste le goût) ne boira jamais de lait contrairement à moi qui ne me passerai jamais de mon petit verre du matin pour tremper ma tartine ! Et vous, vous en êtes où avec le lait ? 

Que faire quand on n'aime pas le lait ? est un article écrit pour et publié sur So busy girls : http://sobusygirls.fr/2014/09/09/que-faire-quand-on-naime-pas-le-lait/

Partenariat et blog, toujours un succès ?





Quand j’ai lancé mon blog de cuisine, j’avais dans l’idée que publier des recettes me forcerait à manger sainement. J’étais en thèse, au moment de la rédaction, j’avais déjà perdu plus de 10 kilos bref il fallait que je me reprenne en main. Comme beaucoup d’activités je me suis prise au jeu, faire de nouvelles recettes, les photographier, les mettre en valeur mais surtout les partager, avoir votre approbation vous lecteurs et en arriver à avoir des followers. Puis un jour un petit mail est arrivé, discrètement sans chichi avec dans son titre le mot Partenariat, et voilà comment l’aventure des partenariats à commencer.

Pour ma part, le principe général d’un partenariat est le suivant : une enseigne me fournit un ou des produits (matériel ou consommable) que je présente sur le blog. Je réalise en général une photo du produit reçu, je décris brièvement la marque et fais apparaître son logo. Ou plus directement j’utilise le produit dans mes recettes. Ensuite dans l’onglet partenariat, je place le logo du partenaire, un bref résumé de la marque et les liens vers les recettes qui utilisent le cadeau.

Chaque partenariat a ses propres règles : vous avez le partenariat classique, où le partenaire demande juste une mise en évidence et ne s’implique pas plus que ça. Certains partenaires mettent même un lien sur leur site pour mettre en évidence votre blog. On trouve aussi le partenariat avec gain, notamment pour le matériel: si quelqu’un commande le matériel en passant par votre blog vous touchez des royalties.

En général les partenariats se passent bien puisque nos blogs permettent aux marques de se faire une publicité à moindre coût. Malheureusement, certains l’ont bien compris et surfent sur cette vague en abusant des blogueurs. On a tout d’abord le cas de la marque qui n’envoie qu’un bon de réduction. Certes c’est déjà quelque chose mais ça veut dire qu’en plus de la pub gratuite que le blog fait, on doit mettre de notre argent pour acquérir le produit. J’avoue que pour ma part je regarde quand même le montant du bon de réduction avant d’accepter.

Si tout partenariat entraîne des règles à suivre celles-ci doivent être en adéquation avec la politique de votre blog. Oui mais voilà ce n’est pas toujours le cas : notamment avec les partenariats que j’appelle à huit-clos, c’est-à-dire qu’on a le droit de parler de la marque, d’utiliser les produits mais interdiction de dénigrer la marque ou de donner un avis négatif. A ce niveau, on voit déjà qu’en tant que blogueur on perd son droit d’expression mais surtout sa liberté. Car quand le produit n’est pas bon … il est interdit de le dire.
Enfin lorsque le partenaire fixe les règles il faut bien faire attention à ce qu’elles entraînent et ne pas se retrouver à devoir publier un minimum d’articles avec le produit, comme cela me l’a été demandé parfois un article minimum par mois.

En conclusion je dirai que cela fait maintenant plus de deux ans que le blog est en collaboration avec des partenariats. Certains ont été courts ou non renouvelés. D’autres m’ont permis de découvrir de superbes marques que j’ai plaisir à mettre en avant. De nouveaux sont en négociation… Avec l’expérience, je prends très au sérieux les demandes de partenariats que je peux recevoir en identifiant bien les produits, la marque et l’interlocuteur. Je n’accepte pas tout et je me permets de fixer certaines règles. Je garde ainsi tout ma liberté et je continue à me faire plaisir !


Article publié sur Sobusygirl  ici

Coup de gueule : Top Chef, faut-il encore regarder ?

article top chef jury1 Faut il encore regarder Top Chef ?

Si tu n’es pas très télé ou que tu descends d’une planète lointaine, Top Chef  est une émission de télé réalité culinaire diffusée sur M6 le lundi soir. Le principe est simple : une dizaine de candidats s’affrontent dans différentes épreuves et sont évalués par un jury composé de Ghislaine Arabian, Christian Constant,  Jean-François Piège,  Thierry Marx et de temps en temps Cyril Lignac. Chaque semaine, un candidat est éliminé. Contrairement à sa jumelle Masterchef, diffusée sur TF1, l’émission Top Chef n’intègre que des professionnels travaillant déjà en cuisine (bon ok, excepté Ruben mais tout le monde fait des erreurs).

Soyons clair, je suis une fan de la première heure. Je suis Top Chef depuis le début. J’adorais, chaque semaine, regarder l’émission qui me permettait de voir des associations auxquelles je n’aurais jamais pensé ou même des techniques de pro qui simplifient la vie.

Oui mais le hic, c’est que depuis quelques temps, ces émissions ont changé. Premier dérapage : la mise en scène. Peu de réels moments où l’on peut voir la cuisine et comment elle est faite. Mais plutôt des zooms sur les candidats et leurs états d’âme. Certes, voir pleurer le candidat éliminé, je le comprends ; mais qu’est-ce qu’on se fout que Noémie se tape Quentin de la saison suivante et qu’ils s’embrassent quand ils cuisinent ! Autre point qui faisait la force de l’émission : l’épreuve de la dernière chance. Cette année, cette étape est complètement zappée, on ne voit plus que la dégustation. Alors voir Ghislaine Arabian faire la grimace parce que c’est acide ou hyper aillé, pourquoi pas ; mais l’histoire de l’assiette et le pourquoi de ce résultat, alors là c’est trop demandé !

Un autre point critique la cuisine en elle-même. Que de gâchis globalement ! Bien qu’il soit sanctionné comme pour Alexis avec son navet ou Mohammed et le pigeon, prendre une pomme de terre pour ne présenter que trois rondelles dans l’assiette me gêne. Alors certes, dans les grands restaurants, ça se passe sûrement comme ça, mais revenons sur Terre, la moitié, que dis-je les trois quarts des gens qui regardent sont comme moi et ne vont que rarement dans les restos étoilés. Quel exemple ce type d’émission donne-t-elle quand on sait la tonne de nourriture gâchée chaque année ? 

Enfin, dernier point et lié à l’émission du lundi 17/02, faire une épreuve spéciale utilisant des produits manufacturés pour en faire un plat gourmand. Bonne initiative qui permet de varier le fameux jambon/purée du soir de semaine. Pour illustrer le propos, c’est Cyril Lignac qui s’y colle avec la boîte de maïs. Il nous fait des blinis au maïs, camouflés sous une figue rôtie au beurre et un magret de canard. Alors là, je pose la question : mais il est où le maïs concrètement, il a utilisé trois grains de la boîte, et le reste ? Ce n’est pas ça le quotidien des familles d'aujourd’hui ! Et encore une fois, ce n’est pas forcément un exemple à donner !


Je ne sais pas ce que vous en pensez mais moi, actuellement, Top Chef me laisse pantoise et ne me fait plus l’effet escompté. D’où ma question : faut-il encore regarder ?



Top Chef, faut-il encore regarder ? est un article écrit pour et publié sur So busy girls : http://sobusygirls.fr/2014/02/19/faut-il-encore-regarder-top-chef/

L’Actifry, un cadeau idéal pour Noël ?

A l’approche des fêtes, tout le monde recherche THE cadeau. En tant que femme soucieuse de sa ligne et de ses petits bouts, je me la suis fait offrir l’année dernière. Voici mon bilan après une année d’utilisation.

actifry L’Actifry, un cadeau idéal pour Noël ?

C’est quoi ? Une friteuse avec peu d’huile qui permet de manger des frites sans culpabiliser. L’Actifry marche sur le principe d’un four à chaleur tournante donc il ne s’agit pas d’une vraie friteuse avec un bain d’huile.

L’utilisation ? Beaucoup de recettes sont possibles. Voici quelques exemples :

  • Les frites de pomme de terre : épluchez et coupez les pommes de terre en frites. Mettez-les dans la cuve, ajoutez une cuillère d’huile d’arachide et enclenchez la cuisson pendant 45 minutes (recette ici).

  • Pilons de poulet au paprika (pour 4) : 1 kg de pilon, sel, poivre et 1 cuillère à café de paprika. Le tout dans la cuve et 25 minutes de cuisson.
     
    pilon poulet L’Actifry, un cadeau idéal pour Noël ?
     
  • Potiron aux herbes de Provence (pour 2) : 750g de potiron, 2 cuillères à soupe d’herbes de Provence, 1 petite cuillère à café de paprika, 2 cuillère à soupe d’huile d’olive, sel, poivre. Épluchez et coupez la chair du potiron en gros dés. Les mettre dans l’Actifry. Répartissez l’huile, les herbes et le paprika sur les dés. Lancer la cuisson pour 30 minutes. A 25 minutes ouvrez, salez et poivrez. Refermez et laissez mijoter les 5 dernières minutes (recette ici).

Mon bilan :

Les moins : Un achat un peu coûteux, 100€ minimum pour le modèle de base (mais bon, pour un cadeau on ne compte pas !). Pour les frites, certes, on est loin des 5 minutes de la friteuse classique mais ça marche aussi avec les frites congelées. Toutes les huiles ne donnent pas le même résultat et seule l’huile d’arachide donne des frites gouteuses. Inutile de penser beignet ou pané, cette friteuse n’est pas faite pour.

Les plus : Avant j’étais très frite au four mais avec l’Actifry, les frites maison (de pomme de terre, de carotte, de panais…) ont fait leur retour à la grande joie des petits monstres. Un livre de recette accompagne la machine et beaucoup de blogueuses proposent des recettes simples. Si on investit dans la nouvelle qui contient deux compartiments, la viande et les légumes se cuisent en même temps. Personnellement, je suis équipée de la plus simple (et la moins chère !), je l’utilise souvent et j’en suis pleinement satisfaite.

Et vous, qu’en pensez-vous ?
 
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